Mardi 5 mai, lors d’une Réunion républicaine à Nîmes (Gard) , le président de la République, Nicolas Sarkozy a ouvert la campagne pour >
les élections européenes entre le 4 et le 7 juin 2009. Nicolas Sarkozy a prononcé un >
discours sur le thème de la France et l’Europe.
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> Sarkozy engage sa campagne pour les européennes à Nîmes, La Parisien
Au début, le Président affirme de ne pas vouloir parler d’un bilan. Le bilan sera présenté au terme de son mandant, dans quatre ans, précise Sarkozy: „L’heure est à l’action.“ Néanmoins, Sarkozy évoque la crise financière et rappelle que „depuis deux ans, la France a eu le courage de se réformer.“ Il se félicite d’avoir arrêté „les conservatismes“, il évoque les urgences (La Gérogie, Gaza, G20) et il rappelle les réussites de la France au nom des réformes qu’il place habilement au service de l’Europe, l’Union pour la Méditerranée incluse. Bien qu’il ne voulait pas proposer un bilan, il le fait quand-même, cependant, il établit un rapport très fort entre les réformes et la politique pour l’Europe en affirmant: „Nous y parviendrons pas sans l’Europe.“ Tout en déplorant encore une fois que la France n’a longtemps pas eu de véritable ambition pour l’Europe. Et Sarkozy souhaite que l’Europe aille plus loin. Il veut que l’Europe retrouve l’esprit de ses pères fondateurs, „la préférence communautaire, l’Europe ouverte mais qui n’était pas naïve.“ Un peu plus loin, il rappelle que l’Europe doit cesser „de se diluer dans un élargissement sans fin.“ L’amitié avec la Turquie bien sûr, mais qui compte parmi les pays „qui n’ont pas vocation de devenir membre de l’Union européenne.“
Sarkozy comprend la crise économique comme une crise de la mondialisation, dont le système financier et le système des valeurs „arrivent à bout de souffle“ et il souligne „La réponse à cette crise intellectuelle et morale, c’est l’Europe qui peut l’apporter.“ L’europe réussira car elle a des attaches fortes partout dans le monde avec le monde hispanophone, le monde lusophone et la francophopnie. Il rappelle „l’héritage universel de la Grèce et de Rome“ et n’hésite pas d’appeler l’Amérique „une enfant de l’Europe“.
Le traité simplifé sera un grande chance pour l’Europe: „Pour que l’Europe veuille quelque chose, il faut aussi qu’elle puisse être gouvernée. Les grands pays en Europe n’ont pas plus de droits, mais Sarkozy affirme qu’ils ont plus de devoirs.
Ensuite, le Président explique en détail comment la France a contribué à la concertation des la politique économique.
Ce discours est important, car sa lecture révèle bien la démarche de M. Sarkozy désireux de rendre l’Europe plus populaire en France. L’Europe non pas celle de l’unanimité mais celle de la concertation est la première condition pour la réussite économique aussi de la France. Et ce discours rappelle que Sarkozy annonçait le soir de son élection: „La France est de retour en Europe.“ > Le discours de Nicolas Sarkozy / Die Rede von Nicolas Sarkozy
Ce blog franco-allemand permet bien de comparer. Quel homme politique s’est adressé, en Allemagne, avec un discours aussi long à ses électeurs? Peut-on critiquer Sarkozy, d’avoir trop dit sur la France? Ou est-ce que son discours révèle vraiment la politique européennes comme condition des réformes en France? On perçoit l’dée qu’on fait en Europe toujours des politiques européennes nationales. La concertation concerne tous les membres et à l’intéreur de l’Europe il serait trés bien possible qu’un groupe des membres s’occupe de certains sujets. Vous sentez ben, ce que je veux dire. La promesse éternelle de vouloir désormais coopérer plus étroitement ensemble répétée par la France et l’Allemagne lors de leurs rencontre pourrait être réalisée dans des discours comme celui-ci.
> Élections européenes 2009 Site de la Fondation Robert Schuman
Am Dienstag, 5. Mai, hat Staatspräsident Nicolas Sarkozy in Nîmes (Gard) den Wahlkampf für >
Europawahl, die zwischen dem 4. und 7. Juni stattfinden wird, mit >
einer Rede über Europa und Frankreich eröffnet.
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Am Dienstag, 5. Mai hat Nicolas Sarkozy mit einer Rede in Nîmes den Wahlkampf zur > Europawahl eröffnet, die zwischen dem 4. und 7. Juni 2009 stattfinden wird.
Zu Beginn seier Rede kündigt Sarkozy an, er wolle keine Bilanz vorlegen. Die Bilanz käme am Ende seines Mandats in vier Jahren: „Zur Zeit geht es um die Aktion.“ Nichtsdestotrotz erwähnt Sarkozy die Finanzkrise und erinnert daran, dass „Frankreich seit zwei Jahren den Mut gehabt habe, sich zu reformieren.“ Er ist froh, die „Konservatismen“ gestoppt zu haben, er erwähnt die Ereignisse, die sofortiges Handeln erfordert haben (Gerogien, Gaza, G20) und er erinnert an die Erfolge Franrkreichs, die er geschickt mit einem Dienst an Europa verbindet. Obwohl der Präsdient keine Bilanz vorlegen will, macht er es dennoch, verknüpft die Reformen sehr eng mit der Europapolitik: „Ohne Europa schaffen wir das nicht.“ Und gleichzeitg bedauert er, dass Frankreich lang Zeit keine Ambition für Europa versprürt habe. Jetzt müsse Europa aber noch weitergehen. Sarkozy wünscght, dasss Europa den Geist seiner Gründerväter wiederfindet, „den Vorzug der Gemeinschaft, ein offenens aber kein naives Europa.“ Und ein wenig weiter, fordert er, Europa möge aufhören, „die Konturen in einerm endlosen Erweiterungsprozess zu verlieren“. Die Freundschaft mit der Türkei will er unterstützen, daran lässt er keinen Zweifgel, aber die Türkei zählt zu den Ländern, die „keine Berufung haben, Mitglied der Europäischen Union zu werden.“
Sarkozy versteht die Fiannzkrise als eine Krise der Gloablisierung, deren Fiananz- und Wertesystem kraftlos geworden sind,“ und er unterstreicht „Die Antwort auf diese intellektuelle und moralische Krise kann nur von Europa kommen.“Europa wird Erfolg haben, weil es weltweit durch seine spanischsprachigen Länder, durch seine portugiesischsprachigen Länder und dei Frankophonie miteinander verbunden ist. Er erinnert an die „universelle Erbschaft der Griechen und Römer“ und zögert nicht, Amerika „ein Kind Europas“ zu nennen.
Der vereinfachte Vertag ist eine große Chance für Europa: „Damit Europa etwas wollen kann, muss es regierbar sein.“ Und er fügt hinzu, die großen Länder haben nicht mehr Rechte als die kleinen Länder, aber sie haben mehr Aufgaben.
Dann hat der Präsident ausfürhlirch dazu Stellung genommen, wie Frankreich am Abstimmungsprozess zur Bewältigung der Finanzkrise mitgewirkt hat.
Diese Rede ist wichtig, weil ihre Lektüre zeigt, wie Sarkozy Europa in Frankreich populärer machen will. Er meint nicht das Europa der Einstimmigkeit, sondern das der Abstimmung, das eine Vorbedingung für den wirtschaftlichen Erfolg Europas und auch Frankreichs. Die Rede erinnert an die Ankündigung Sarkozys am Abend seiner Wahl zum Staatspräsidenten: „Frankreich ist zurLa France est de retour en Europe.“ > Le discours de Nicolas Sarkozy / Die Rede von Nicolas Sarkozy.
Auf diesem deutsch-französischen Blog wird immer wieder gerne verglichen. Welcher Politiker hat sich im Vorfeld der Europawahl in einer ähnlich langen und ausführlichen Rede an die Wähler gewandt? Kann man Sarkozy ankreiden, dass er zuviel nur über Frankreich sagt oder kommt in seiner Rede die Europapolitik als Bedingung für die eigenen Reformen wirklich rüber? Man kann sich des Eindrucks nicht ganz entziehen, dass in Europa immer noch nationale Europapolitiken gemacht werden. Die „Concertation“ scheint sich auf alle Mitglieder zu beziehen, und innerhalb Europas wäre es doch gut möglich, dass sich Themen herausstellen lassen, die von einer Gruppe von Mitgliedern behandelt werden. Sie spüren was ich meine? Die ständig wiederholten Beteuerungen, Frankreich und Deutschland arbeiten künftig enger zusammen, könnten sich auch in solchen Reden bewahrheiten.
> Sarkozy engage sa campagne pour les européennes à Nîmes, La Parisien
> Élections européenes 2009. Site de la Fondation Robert Schuman