Elire le Président au suffrage universel
Freitag, 29. Juni 2007… c’est ce que le Président de la République Horst Köhler vient de proposer. Mais il est étonnant que beaucoup d’articles de journaux qui commentent cette proposition, n’évoquent pas l’exemple français. Les dernier mois, n’ont-ils pas montré l’importance que les Français ont accordé à cette élection? L’actuelle opposition au Bundestag, les Libéraux (FDP) et la gauche (die Linke) saluent cette proposition. Et le SPIEGEL cite Christine Scheel (Bündnis 90/Die Grünen) qui estime que l’élection du Président au suffrage universel favoriserait la démocratie directe. D’autres, comme l’historien August Winkler rejettent cette proposition car elle conduirait à une politisation de sa fonction et il estime qu’un chef d’Etat au-dessus des partis serait une tentation à laquelle les Allemands ne devraient pas céder.
En France, la charge du Président de la République a une tout autre tradition qu’en Allemagne. Le premier Président élu au suffrage universel était entre autres, élève à Augsbourg, soldat en Suisse, policier en Angleterre, expulsé une fois des Etats-Unis, incarcéré à la suite de son coup d’état échoué avant son élection triomphale en décembre 1848: Il s’appelait Louis-Napoléon et était le neveu de Napoléon Ier. Après son coup d’état du 2 décembre 1851, une élection du Président de la République au suffrage universel n’a eu lieu à nouveau qu’en 1965. Le Général de Gaulle, ayant sauvé deux fois la France, introduisit l’élection du Président de la République au suffrage universel pour donner une meilleure légitimation soit à lui-même, soit à son successeur. Les pouvoirs extraordinaires de sa charge que nous avons longuement décrits et commentés sur ce blog au cours de la campagne présidentielle, semblaient logiquement demander une légitimation plus forte et plus accentuée pour le Président de la République. Or, en Allemagne, la loi fondamentale de 1949 définit clairement et sans ambages que l’Allemagne est une république parlementaire et le chef du gouvernement est élu par le Bundestag. Elire un Président de la République par le peuple conduirait, sans aucun doute à une modification essentielle de la constitution.
Sans citer la campagne présidentielle, on pourrait s’imaginer que les hommes politiques y pensent en favorisant une modification du mode d’élection de notre Président. Imaginons une telle campagne en Allemagne avec une mobilisation aussi forte de l’électorat ! Qui donc introduit chez nous une campagne participative? Combien de meetings électoraux auraient lieu sur le plan fédéral? Le nouveau Président de la République recevrait-il autant de pouvoirs que son collègue français? Nommerait-il le chancelier? Pourrait-il dissoudre le Bundestag quand bon lui semble? Aurait-il un domaine réservé qu’il pourrait, selon les résultat de son élection, élargir en y faisant entrer la politique intérieure. Est-ce qu’il présiderait le conseil des ministres? Pourra-t-il soumettre une proposition de loi au référendum?
Une réforme constitutionnelle est un aspect, l’histoire constitutionnelle en est un autre, les réactions à la suite du proposition de M. Köhler sont un mélange des différents aspects de cette question. Or, sa proposition se lit aussi comme une critique des institutions concernées par une élections du Président par le vote populaire. Tout d’abord, c’est le Bundestag qui est visé, qui au cours des dernières décennies est de plus en plus dominé par les partis politiques qui, eux, se sont habitués a préparer des décisions importantes en dehors du Parlement ou tout au moins avant les séances du Bundestag. Si le Bundestag réussissait à reprendre tous son poids politique, la proposition de M. Köhler aurait moins d’adhérents.
> http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,490593,00.html
… das hat jüngst Bundespräsident Horst Köhler vorgeschlagen. Es ist erstaunlich, daß die vielen deutschen Tageszeitungen, die diesen Vorschlag kommentieren, das französische Beispiel nicht erwähnen. Haben nicht die letzten Monate gerade nur zu deutlich die Bedeutung gezeigt, die die Franzosen der Präsidentschaftswahl und damit auch dem Amt selbst gegeben haben? Die heutige Opposition im Bundestag, unter ihnen die Liberalen (FDP) und die Linke begrüßen diesen Vorschlag. Und der SPIEGEL zitiert Christine Scheel (Bündnis 90/Die Grünen), die die Ansicht vertritt, die Wahl des Bundespräsidenten durch das Volk werde die direkte Demokratie begünstigen. Andere, wie der Historiker August Winkler lehnen diesen Vorschlag ab, weil er zu einer Politisierung dieses Amtes führen würde, und er meint, daß ein Präsident, der über den Parteien stehen würde, eine Versuchung sei, der die Deutschen nicht nachgeben sollten.
In Frankreich hat das Amt des Präsidenten eine ganz andere Tradition als in Deutschland. Der erste Präsident, der vom Volk gewählt wurde, war Schüler in Augsburg, Soldat in der Schweiz, Polizist in England, einmal in die USA ausgewiesen, nach seinem zweiten versuchten Staatsstreich zu Kerkerhaft verurteilt, bevor er im Dezember 1848 einen triumphalen Sieg bei der Wahl zum Präsidenten der Republik errang. Er hieß Louis-Napoleon Bonaparte und war der Neffe von Napoleon I. Nach seinem dritten und diesmal erfolgreichen Staatsstreich (1851), fand die Wahl eines Präsdenten durch das Volk erst wieder nach einer Verfassungsreform im Jahr 1965 statt. General de Gaulle, der Frankreich zwemal gerettet hatte, führte 1962 die Wahl des Präsidenten durch das Volk ein, um sich bzw. seinem Nachfolger eine bessere Legitimitation zu geben. Die > besondere Machtfülle seines Amts, die auf diesem Blog schon mehrmals kommentiert wurde, schien in der Tat für den Präsidenten ein stärkere Legitimation zu erfordern. Das Grundgesetz von 1949 bestimmt aber eindeutig, dass die Bundesrepublik eine parlamentarische Demokratie ist, und dass der Regierungschef vom Bundestag gewählt wird. Die Wahl des Bundespräsidenten durch das Volk würde eine erheblichen Druck zu einer Verfassungsänderung bewirken.
Ohne dass der französische Wahlkampf ausdrücklich genannt wird, könnte man sich vorstellen, dass die Politiker, die einen Änderung des Wahlmodus unseres Präsidenten befürworten, ohne es zu sagen, eben doch insgeheim an das französische Beispiel denken. Stellen wir uns einen solchen Wahlkampf in Deutschland vor mit einer ähnlichen langen und intensiven Mobilisierung der Wählerschaft. Wer würde bei uns einen „partizipativen“ Wahlkampf initiieren? (Da fällt mir sogar keine richtige Übersetzung ein.) Wieviele unzählige Meetings würden auf Bundesebene stattfinden und so schon den Bedeutungsverlust der Länder zeigen? Würde der neue Präsident früher oder später auch so viele und weitreichende Vollmachten bekommen wie sein französischer Kollege? Würde unser Präsident dann auch eines Tages den Bundeskanzler ernennen? Könnte er (fast) nach Belieben den Bundestag auflösen? Hätte er auch einen > „reservierten Bereich“, den er je nach seinem Wahlergebnis auf die Innenpolitik ausdehnen könnte? Würde er den Vorsitz im Bundeskabinett führen? Könnte er ein Gesetz dem Volk zur Abstimmung vorlegen?
Eien Verfassungsreform ist eine Seite der Medaille, die Verfassungsgeschichte ist die andere Seite. Die Reaktionen auf den Vorschlag von Horst Köhler vermischen die beiden Aspekte dieser Frage. Sein Vorschlag kann aber auch als eine Kritik an der Institution verstanden werden, die vom Volk gewählt wird. Zunächst ist der Bundestag gemeint, der in den letzten Jahrzehnten immer mehr von den Parteien dominiert wird, die es sich zur Gewohnheit gemacht haben, wichtige Entscheidungen außerhalb des Parlaments oder wenigstens vor den Sitzungen des Bundestags zu treffen. Es ist denkbar, daß weniger Politiker den Vorschlag von Horst Köhler unterstützen, wenn der Bundestag das ihm verfassungsmäßig zugeschriebene Gewicht wieder ausübt.
> http://www.spiegel.de/politik/deutschland/0,1518,490593,00.html
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A la fin de l’année 2006, Paris comptait 371 km d’aménagements cyclables existent dans Paris (bandes et pistes cyclables, couloirs de bus élargis compris). En comparaison, Strasbourg dispose de 350 km de pistes cyclables. Mais la ville de Paris comble son retard. Cette année, d’autres 35 km seront aménagés pour les cyclistes. > 




Une grande première. Hier soir, je suis rentré de Paris à Stuttgart avec le TGV. D’abord, les voyageurs doivent sagement attendre dans le grand hall de la Gare de l’Est et observer le téléviseur où on affiche la voie du TGV en direction de Stuttgart seulement vingt minutes avant le départ. Et puis, le haut-parleur donne une information importante. Et, toute de suite encore une: Un petit retard ? Écoutez. Petit exercice de compréhension.
Vous avez compris ? Alors, n’y montez surtout pas sans réservation. Enfin, j’arrive à la place 15. Avec table. Magnifique, je peux utiliser mon portable et préparer les fichiers mp3 et les photos pour cette note que vous lisez ici. Pas de prises ? C’est dommage, mais pas nécessaire. La batterie fonctionne presque jusqu’à Stuttgart. Peu après le départ, le contrôleur arrive, il demande ma Bahncard (50). Pourquoi n’est-il pas valable sur tout le réseau ? Au moins, elle est acceptée sur la ligne Stuttgart-Paris bienqu’il se transforme en France en Bahncard 25. 65 au lieu de 95 Euros. Des petit progrès en attendant d’autres! Le voyage dure 3 heures 46. Et le train arrive à Stuttgart à 21 h 04 pile.
Un petit détail: Avant de partir, j’ai vu cette publicité dans la station du métro à Stuttgart. 29 Euro. Je connais personne qui a réussi d’acheter un billet pour ce prix.
Einige Minuten später wird das Gleis 5 angezeigt. Alle setzen sich in Bewegung. Ich kaufe noch eine Zeitung, und der Schaffner am Anfang des Zuges erklärt mir, Wagen Nummer 15, das ist ganz dahinten, im zweiten Teil des Zuges. Noch 8 Minuten, Gepäck, Taschen mit den in Paris gekauften Büchern unterm Arm und dem Mikro laufe ich zum Wagen 15 und höre, was der Lautsprecher diesmal den Reisenden rät:
Gerade ist die neue Ausgabe der Zeitschrift Der Fremdprachliche Unterricht Französisch Nr. 87 im Friedrich Verlag erschienen. Diesmal geht es im Basisartikel von Alexander Kraus um die Vor- und Nachbereitung von Austauschbegegnungen. Checklisten und eine Bibliographie ergänzen seinen Artikel. Maik Bönig stellt alle Arten von Übungen vor, die im Bereich von Tandemaktivitäten durchgeführt werden können: Sprachdynamik garantiert! Den interkulturellen Vergleich behandelt Valérie Boisson-Zaric: Chocs culturels. Jochen Momberg berichtet über die Website 

… gibt es bei Klett in einem gerade erschienenem Arbeitsheft „Activités créatives et communicatives pour le cours de français“ mit dem Titel „Les tableaux, toi et moi“, das Ghislaine Rössler Vitiello verfaßt hat. Die Gemälde von Berthe Morisot, Au bal (875), Edgar Degas, L’absinthe (1876), Pierre-Auguste Renoir, Le déjeuner des canotiers (1882-1884) und Henri Rousseau, Le rêve (1910) liegen hier als Kunstfolien mit Kopiervorlagen bei.
