Vous avez certainement remarqué, ici dans la colonne à droite, le logo de Facebook. Eh bien, si vous n’y êtes pas connectés, le logo dans son petit cadre bleu vous propose de s’inscrire à Facebook. Quand j’ai vu cela, j’ai supprimé le logo qui vient de Facebook où on peut faire programmer le logo et l’insérer sur son blog ou sur son site. Mes vues sont peut-être un peu dépassées. Mais, en laissant trop de place à la publicité de la part de Facebook au détriment de l’affichage des catégories que j’ai remplies sagement depuis 1987, je m’en doute qu’on vous propose indirectement de vous occuper trop avec Facebook au lieu de lire les billets (1300 déjà ) sur ce blog. Ivan Guglielmin a bien raison en estimant que Facebook est une formidable machine à perdre du temps. D’un autre côté, je l’avoue franchement, j’y observe des activités d’un certain nombre de mes amis de très près et, eux, ils m’envoient des commentaires concernant mes billets qu’ils n’auraient – sans Facebook – peut-être jamais lues.
<< Volker Rühle, > Ohne Netz,
Klett-Cotta 2010.
Or, et c’est là que les choses vont commencer à se gâter : je suis très prudent en ce qui concerne les caractère social de Facebook, que tout le monde appelle un réseau social. En 2007, quand nous avons préparé une conférence pour un Barcamp à Mannheim, Robert Basic a eu bien raison de me poser la question > Wie sozial sind soziale Netzwerke?. Or, je tiens toujours à cette comparaison entre l’architecture et un réseau social que j’avais écrite et proposée comme sujet d’une conférence en 2007. Rassembler les mails, les messages SMS et les conversations issus d’un chat dans un même système et de le trier automatiquement selon le degré d’amitié que j’ai confié à Facebook c’est très pratique et une formidable tutelle à la fois. Ce n’est rien d’autre que, de la part de Facebook, de s’assigner la tâche de vouloir organiser nos relations sociales selon les règles de Facebook, ce qui m’a rappelé le, à mon avis, bien-fondé de mes conférences citées ci-dessus.
Mais le > Palais de l’Elysée et le Ministères des affaires étrangères et europénnes ont aussi ouvert leurs pages de Facebook.
A suivre!
Et les réactions en France? Citons quelques-unes :
> Facebook Messages : un service e-mail, tchat et SMS pour menacer Gmail et Hotmail – zd-net France
> Comment Facebook veut prendre la place de l’e-mail
> La messagerie Facebook est-elle dangereuse?
> Facebook officialise sa messagerie sociale: Message
Si vous ne pouvez pas délaisser Facebook, vous pouvez désormais y fonder une communauté fermée, p. ex. avec vos corres en Allemagne et discuter avec eux sur les avantages et les désavantages de ce réseau social.
Ivan Guglielmin, dans son blog publié sur le site de la Tribune de Genève nous dit ce qu’il faut savoir de Facebook et de ses nouveaux projets: > Facebook Messages, le piège qui va asseoir la suprématie de Facebook. Cette fois, je n’en résume rien, à vous d’en lire les détails.
im Berners-Lee, > Long Live the Web dans :Scientific American: „The Web is critical not merely to the digital revolution but to our continued prosperity—and even our liberty. Like democracy itself, it needs defending.“
Sie haben sicher schon das Logo von Facebook hier in der rechten Spalte des Blogs bemerkt. Wenn man gerade nicht eingeloggt ist, merkte Facebook das und anstatt in der Mitte des kleinen blauen Kastens wie gewohnt das Log dieses Blogs anzuzeigen, stand dort Werbung für Facbook. Als ich das gesehen, habe ich das Logo auf seine Mindestgröße verkleinert. Bin ich zu altmodisch? Aber warum soll das Logo von Facebook hier einen so großen Platz erhalten – zum Nachteil der Kategorien, für die seit 2007 hier rund 1220 Beiträge entstanden sind? Das Logo mit dem Hinweis, sich jetzt einzuloggen fordert Sie auf, sich mehr mit Facebook als mit diesem Blog zu beschäftigen. Ivan Guglielmin dessen Blog ich unten zitiere, hat doch Recht, wenn er Facebook eine Zeitverschwendungsmaschine nennt. Andererseits gestehe ich, dass Facebook es mir ermöglicht, eine Reihe von Aktivitäten meiner französischen Freunde zu verfolgen, die sich in Facebook angemeldet haben. Natürlich freue ich mich über ihre Kommentare zu meinen Beiträgen, auf die sie ohne Facebook vielleicht nie aufmerksam geworden wären. Mehr Kommunikation! Zugleich schränkt Facebook die Kommunkation auf den Kreis ein, der sich angemeldet hat.
<< Volker Rühle, > Ohne Netz,
Klett-Cotta 2010.
Da fangen aber die Schwierigkeiten an. Man sollte ganz vorsichtig sien, wenn man Facebook als ein soziales Netzwerk bezeichnet. 2007 gab es einen gemeinsamen Workshop mit Robert Basic anlässlich eines Bacamps in Mannheim, und Basic fragtre > Wie sozial sind soziale Netzwerke?. Die Antwort auf diese Frage und die Beurteilung von sozalen Netzwerken, die aus einer Überlegung zur Architekur hervorgegangen sind, gilt noch immer. Das Einsammeln von Mails, SMS und Gesprächsverläufen aus dem Chat und die Absicht, diese nach Freund oder weniger Freund automatisch zu ordnen, das erinnert mich an die drei zitierten Vortäge. Das ist nicht sozial, das ist Bevormundung. Das Ergebnis sind soziale Bewegungsprofile, mit denen sich Facebook dokumentieren lässt, wer mit welchen Interessen mit wem kommuniziert. Ein Eldorado für die Werbung zugunsten von Facebook.
Aber der > Elyseepalast und das Außenministerium haben schon ihre Facebookseiten.
A suivre.
Und die Reaktionen auf Facebook Messages in Frankreich ? Hier sind einige:
> Facebook Messages : un service e-mail, tchat et SMS pour menacer Gmail et Hotmail – zd-net France
> Comment Facebook veut prendre la place de l’e-mail
> La messagerie Facebook est-elle dangereuse?
> Facebook officialise sa messagerie sociale: Message
Ivan Guglielmin sagt uns in seinem Blog, den er auf der Website der Tribune de Genève veröffentlicht, alles, was man über das neue Projekt von Facebook wissen sollte: > Facebook Messages, le piège qui va asseoir la suprématie de Facebook.
Künftig könnenn Sie in Facebook geschlossene Benutzergruppen einrichten, z.B. um mit Ihren Austauschpartnern in Frankreich z.B. über Facebook oder über den Zustand der deutsch-französischen Beziehungnen zu diskutieren.
Tim Berners-Lee, > Long Live the Web in: Scientific American: „The Web is critical not merely to the digital revolution but to our continued prosperity—and even our liberty. Like democracy itself, it needs defending.“