Éditoral : KI/IA in der Schule – dans l’éducation
Donnerstag, 26. Juni 2025| Beiträge mit Aufgaben für Schülerinnen und Schüler auf diesem Blog |
Les tâches pour les élèves :
> Vous lisez cet éditorial… et vous écputez l’émission de France-Inter…et vous suivez les liens. > Vous prenez des notes… vous pesez le pour et le contre… vous préparez votre point de vue pour participer à une discussion dans votre classe. |
Les écoles et les enseignants oscillent entre admiration et scepticisme. Les uns sont enthousiasmés par tant de progrès techniques et réclament une numérisation rapide de l’enseignement, les autres craignent que cela n’ouvre la voie à toutes sortes de tentatives de tromperie.
Il est vrai que les résultats obtenus grâce à l’IA sur Internet sont étonnants. Déjà, on réclame de nouvelles méthodes d’enseignement et d’apprentissage basées sur l’IA. De nouveaux formats d’examen sont imaginés.
Tous les articles autour de L'IA sur notre https://t.co/dmA2cCcsyC
L'usage de ChatGPT nous rend-il plus bête ? via @franceculture https://t.co/n1WGLnjiQu
— Frankreich-Blog (@FranceBlogInfo) July 4, 2025
Mais malgré tout cet engouement, les faiblesses fondamentales de la nouvelle IA sont négligées. Le rapport qui vient d’être publié > L’IA en éducation. Cadre d’usage du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ne néglige pas (p. 4) le fonctionnement de l’IA générative : notre rédaction l’a formulé ainsi : elle calcule > probabilités de mots voisins, ce qui n’a rien à voir avec un travail systématique sur un texte, par exemple dans une bibliothèque, accompagné d’une recherche classique. Si l’on tape « Explique l’Europe des patries », on obtient la réponse suivante : « Ce terme a été particulièrement utilisé par Charles de Gaulle, ancien président de la France. » Voir Das Europa der Vaterländer… (L’Europe des patries…) sur ce blog. Ou bien on demande à l’IA de résumer le roman « L’Étranger » d’Albert Camus.
Sans instructions appropriées, les élèves n’apprennent pas à apprendre avec l’IA, c’est-à-dire, dans ce cas, à travailler une matière. En un clin d’œil, l’IA permet de créer facilement un exposé, le PPT est même fourni. Cela rappelle l’élève qui écrit quelques phrases correctes dans son examen, mais qui, lorsqu’on lui demande de les traduire, est incapable de le faire. Montaigne dirait que son estomac n’a pas fait son travail ou, en d’autres termes : L’IA n’a pas une connaissance universelle, vgl. Lesebericht und Nachgefragt: Michael Wildenhain, »Eine kurze Geschichte der Künstlichen Intelligenz« – Rédigé par Heiner Wittmann, 3.3.2024.
Notre rédaction avait déjà identifié le véritable problème avant l’apparition de l’IA : > Écrivez-vous à la main ou au clavier ? – 24 août 2017. Bien sûr, il est possible de développer des scénarios d’apprentissage qui conduisent les élèves à apprendre de manière autonome – ou du moins, c’est ce qu’on espère. Mais même si l’IA est transformée en tuteur et doit expliquer le subjonctif, elle le fait même avec des exercices et des solutions. Mais l’étape décisive du processus d’apprentissage, qui consiste à rechercher le chapitre dans un manuel de grammaire et à comprendre son intégration dans le programme, est ignorée par l’IA. Ou bien les élèves laissent l’IA rédiger des textes à des fins diverses et ne remarquent pas que la relation entre le texte et l’auteur est ignorée par l’IA. Les élèves habitués à l’IA n’apprennent pas à travailler dans une bibliothèque et s’habituent à croire qu’ils trouvent tout sur Internet. Un élève m’a raconté qu’il rédigeait un devoir sur « Nathan le Sage » et qu’il était étonné de voir à quel point il pouvait bien préparer son devoir après avoir lu la pièce à l’aide de quelques pages tirées de livres de la bibliothèque. Ou est-ce que l’IA fait mieux ? > La littérature et l’IA
Schulen und Lehrer/innen schwanken zwischen Bewunderung und Bedenken. Die einen sind begeistert von so viel technischem Fortschritt und verlangen eine schnelle Digitalisierung des Unterrichts, die anderen haben Bedenken, ob nicht jetzt Täuschungsversuchen aller Art Tür und Tor geöffnet werden.
In der Tat sind die Ergebnisse der vielen Angebote im Netz mit Hilfe der KI erstaunlich. Schon werden neue Lehr- und Lernmethoden mit Hilfe der Ki gefordert. Neue Prüfungsformate werden erdacht.
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— Frankreich-Blog (@FranceBlogInfo) July 4, 2025
Bei allem Hype werden aber die grundsätzlichen Schwächen der neuen KI übersehen. Der gerade veröffentlichte Bericht > L’IA en éducation. Cadre d’usage des Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche übersieht nicht (S. 4) wie die generative KI arbeitet: Unsere Redaktion hat es so ausgedrückt: Sie rechnet > Wortnachbarwahrscheinlichkeiten aus, das hat mit einem systematischen Arbeiten an einem Text z. B. in der Bibliothek zusammen mit einer dort üblichen Recherche nichts zu tun. Man gebe als Prompt „Erkläre das Europa der Vaterländer“ ein und erhält den Hinweis „Der Begriff wurde besonders von Charles de Gaulle, dem ehemaligen Präsidenten Frankreichs, geprägt.“ S. Das Europa der Vaterländer… auf diesem Blog. Oder man bittet die KI den Roman „Der Fremde“ von Albert Camus zu resümieren.
Schülerinnen und Schüler lernen mit der KI, wenn sie keine entsprechende Anleitung bekommen, nicht das Lernen, d. h. hier das Erarbeiten eines Stoffes. Wie leicht ist im Handumdrehen ein Referat mit der KI erstellt, die PPT wird sogar gleich mitgeliefert. Das erinnert an die Schülerin, die in der Klausur einige richtige Sätze schreibt, aber auf Nachfrage nichts davon übersetzen kann. Montaigne würde sagen, der Magen hat seine Operation nicht gemacht oder anders ausgedrückt: Die KI hat kein Weltwissen, vgl. Lesebericht und Nachgefragt: Michael Wildenhain, »Eine kurze Geschichte der Künstlichen Intelligenz« – Verfasst von Heiner Wittmann, 3.3.2024.
Das eigentliche Problem hat unsere Redaktion schon vor dem Erscheinen der KI benannt: > Schreiben Sie mit der Hand oder der Tastatur? – 24. August 2017.
Natürlich lassen sich Lernszenarien entwickeln, die den Schüler zum selbständigen Lernen führen – sollten. Aber auch wenn die KI mit einem Prompt zum Nachhilfelehrer gemacht wird und den Subjonctif erklären sollen, macht sie das sogar mit Übungen und Lösungen. Aber der entscheidende Schritt des Lernvorgangs, das Kapitel in einer Grammatik aufzusuchen und seine Einbettung in den Lernstoff zu begreifen, wird von der KI verschluckt. Oder die Schülerinnen und Schüler lassen sich von der KI für irgendwelche Zwecke Texte verfassen und merken nicht, wie das Verhältnis von Text und Autor von der KI ignoriert wird. An die KI gewöhnte Schülerinnen und Schüler lernen nicht, in einer Bibliothek zu arbeiten und gewöhnen sich an zu glauben, sie fänden alles im Internet. Ein Schüler berichtet mir, er schreibe eine Klausur über „Nathan der Weise“ und war erstaunt, wie er die Klausur nach der Lektüre des Dramas mit Hilfe einiger Seiten aus Büchern in der Bibliothek richtig gut vorbereiten kann. Oder geht das mit KI doch besser? > Literatur und die KI
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