En 1996, je travaillais depuis 3 ans chez Klett et mon mentor était décédé. Il m’avait laissé en héritage en chantier énorme: un manuel scolaire pour les collèges intitulé „Ensemble“. Comme dans tout manuel, la civilisation francaise, la littérature, le théâtre et la chanson jouent un rôle important dans l’apprentissage de la langue. Mon mentor était un admirateur de Jean Ferrat et moi aussi. Rien de plus naturel, donc, que de choisir une chanson de Jean Ferrat pour illustrer un manuel scolaire. Le choix de la chanson „La paix sur terre“ s’imposa rapidement. C’est une chanson avec un choeur d’enfants qui parle de paix, de solidarité, d’humanisme, bref, tout ce qui fait cruellement défaut dans le monde actuel.

Mais cette chanson parle également de la place de la France dans le monde. Nous voulions ainsi expliquer aux élèves qu’ils avaient raison d’avoir choisi la langue francaise avec tout ce que le pays représente d’humanisme. Lors du travail de demande de droits avec la maison de disques Gérad Meys qui représente Ferrat, je suis tombé sur une équipe merveilleuse. Il y avait Gérard (Meys), le patron, Isabelle (Aubret) et Christine Durozier qui fit tout son possible pour que les Editions Klett puissent publier dans la revue „Trait d’union“ une lettre authentique de Jean Ferrat expliquant la naissance de la chanson „La paix sur terre“. je me souviens que lorsque la lettre devait être publiée, le responsable de la revue voulait dactylographier la lettre de Jeann Ferrat. Quelle étrange idée! Dactylographier une lettre de Ferrat! Heureusement, pour une fois, la raison l’emporta et voici donc la l’histoire de la lettre de Jean Ferrat aux Editions Klett. Merci Jean!

> Jean Ferrat est mort, LE MONDE, 13 mars 2010.

Anlässlich des Besuchs von Direktor Jean-Pierre Gauvin (Vandoren de Paris), eine weltbekannte französische Firma für Klarinetten- und Saxofonblättchen und Mundstücke:

Programm

Das Beste von Thelonious Monk mit Alfred Haag, Saxophone, Arne Meerwein, Saxophone, Bernd Oppolzer, Klavier, Fred Stern, Kontrebasse, Alois Geiger, Schlagzeug

Blue Train wurde in Deutschland 1987 ins Leben gerufen um die Musik von legendären Künstlern wie Charlie Mingus, Archie Shepp, McCoy Tyner und John Coltrane zu feiern.

Der Abend ist Thelonious Monk gewidmet, diesem einzigartigem und genialen Pianisten der viele Standarts gesetzt hat. Die Melodien von Monk zeichnen sich durch eine lebensfrohe und gewisse Einfachheit aus. Dennoch ist sein Stil geprägt durch nostalgischen, romantischen und sehr intensiven Ansätzen.

Blue Train widmet sich diesen Stücken mit einer Hingabe und wird das Publikum begeistert! Blue Train ist ein angesehenes Mitglied der deutschen Jazzscene und ein gern gesehener Gast bei Festivals und Club.

Institut Français de Stuttgart
Diemershaldenstraße 11
70184 Stuttgart

Montag, 2. November 2009, 20 Uhr

Dans le cadre de la semaine francaise de Stuttgart, le groupe zenzila s’est produit samedi dernier au Café Merlin. Le groupe qui prépare en ce moment son prochain spectacle au Théâtre de Lyon ainsi qu’un nouvel album qui sortira au printemps 2010, a évolué vers une musique plus rock. Les éléments de rai ainsi que les influences arabes ou „ethniques“ se font plus rares.

Est-ce un tournant identitaire dans la carrière du groupe? Sans aucun doute. Zenzila se veut un groupe francais à part entière et refuse désormais de se faire enfermer dans un placard ethnique. De ce fait, le concert au café Merlin fut très dansant. Le rock a fait se lever la plupart des auditeurs et à la fin, tout le monde dansait au milieu de la salle.

A n’en pas douter, le groupe a pris un virage musical auquel nous souhaitons bonne chance pour la sortie du nouvel album. Les textes sont tout autant corrosifs et les musiques ont gagné en dynamisme et en rythme grâce aux deux nouveaux arrivés dans le groupe: Luc à la basse et Martial à la batterie.

Les deux leaders du groupe, Laurent le guitariste et Wahid le chanteur donne l’impression d’avoir retrouvé une seconde jeunesse.

Le groupe se produira le mois prochain en Autriche (Vienne et Klagenfurt). Cela présage d’un début de conquête du public germanophone et francophile.

> Zen Zila

Les Photos: à suivre…

> Französische Woche in und um Stuttgart 2009

So ein Erfolg! Die Solistes de Lyon – Les Folies D`Offenbach unter der Leitung von Bernard Tétu und der Regie von Jean Lacornerie haben gestern mit dem Bühnenspektakel »Les Folies d’Offenbach« das Publikum bei der Eröffnungsveranstaltung mit Gesang und Theater in die Welt des französischen Komponisten deutsch-jüdischer Abstammung Jacques Offenbach (1819–1880) entführt und dem Beginn der der 10. Französischen Woche in Stuttgart den perfekten Schwung verliehen.

Dr. Wolfgang Schuster, Oberbürgermeister der Stadt Stuttgart begrüßte die Gäste und hielt auf eine sympathische Art zur Eröffnung der Französischen Woche auf Französisch eine bestens einstudierte Rede.

Dieter Berg, Vorsitzender der Geschäftsführung der Robert Bosch Stiftung überbrachte die Grüße seines Hauses.

Christian Dumon, Französischer Generalkonsul und Leiter des > Institut français de Stuttgart bedankte sich bei Gérard Roth für die freundliche Unterstützung, mit der EDF diese Veranstaltung ermöglicht hat:

Gérard Roth, Directeur Allemagne EDF International & Gaz

In fünf Szenen kombinierten die Sänger der »Solistes de Lyon« und das Schlagzeugensemble »Les Percussionistes de Lyon« Melodien, Arien und Cancans unter anderem aus »Hoffmanns Erzählungen« und »Das Pariser Leben« zu einem wunderbaren und beeindruckenden Musikerlebnis: stimmungsvolle Musik und heitere Texte rund um Offenbachs bevorzugte Themen wie Lieben, Trinken, Singen und Tanzen.

> Noch mehr Fotos. Institut français

Veranstalter: Institut français de Stuttgart in Zusammenarbeit mit dem Theaterhaus Stuttgart und dem Kulturamt der Landeshauptstadt Stuttgart

Mit freundlicher Unterstützung von EDF, Ministerium für Wissenschaft Forschung und Kunst Baden-Württemberg, Région Rhône-Alpes, Landeshauptstadt Stuttgart, Robert Bosch Stiftung und Consulat général de France à Stuttgart

Sur l’invitation de l’institut francais de Stuttgart et des Editions Klett Wilfried N’Sondé est venu est Stuttgart. Il est musicien et écrivain. Actuellement, il habite à Berlin. Il a lu des extraits de son roman Le Cœur des enfants Léopards et répondu aux questions des auditeurs. Cette fois, les thèmes abordés furent la francophonie, les similitudes entre Paris et Berlin, son travail avec les jeunes des banlieues à Berlin.

Mais écoutez plutôt …

Femme d’Afrique:

Voir aussi: A. Wierth, S. Puschner, Wilfried N’Sonde im Montagsinterview :> „Herkunft ist kaum noch wichtig“, taz 16.2.09

Wilfried N’SONDE, Le Cœur des enfants Léopards, Actes Sud, 2007. 140 pages. 15 €.