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L’Institut Supérieur Franco-allemand de Techniques, d’Economie et de Sciences, l’ISFATES / DFHI fête ses 30 ans
Mittwoch, 26. November 2008
L’Institut Supérieur Franco-Allemand des Techniques, d’Economie et de Sciences (ISFATES) organisera vendredi, 28 novembre 2008 à partir de 15h sa traditionnelle cérémonie de remise des diplômes de la 28ème promotion. Cette année, la remise des diplômes ouvre la célébration du trentième anniversaire de l’Institut qui débutera à 18 heures, sous le haut patronage du Président du Conseil régional de Lorraine, Jean Pierre Masseret et du Ministre Président de la Sarre, Peter Müller, en présence du Président de l’Université de Metz, Luc Johann, du Recteur de la Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes, Wolgang Cornetz et du Président de l’Université Franco-Allemande (UFA), Dieter Leonhard.
Cette coopération est une histoire pleine de succès remarquables. Au programme de la soirée du 28 novembre, qui fête les 30 ans d’existence et les 30 ans de coopération franco-allemande réussie, allocutions d’officiels, conférence sur le thème des relations franco-allemandes animée par M. Cullin, ancien secrétaire général de l’OFAJ (Office Franco-Allemand pour la Jeunesse), et cocktail dînatoire pour un moment convivial et festif, propice aux échanges, aux rencontres et au partage.
Précurseur en son temps, créé en 1978 par décision intergouvernementale, l’ISFATES représente la
plus ancienne coopération franco-allemande dans l’enseignement supérieur. Depuis sa création, l’Institut a su se renouveler en élargissant l’offre de formation à > 6 filières (- Sciences de gestion, – Logistique, – Informatique, – Génie mécanique, – Génie civil, – Génie électrique) au niveau Licence et Master. Depuis 30 ans, l’ISFATES a formé près de 2000 professionnels résolument bilingues avec une excellente connaissance de la culture du pays partenaire.
Vendredi, 28 novembre 2008, à l’Arsenal à Metz
Cérémonie de remise des diplômes à partir de 15h
Cérémonie anniversaire « les 30 ans de l’Isfates » à partir de 18h
> Institut Supérieur Franco-Allemand de Techniques, d’Economie et de Sciences ISFATES
> Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes HTW

Das Institut Supérieur Franco-Allemand des Techniques, d’Economie et de Sciences (ISFATES) wird am kommenden Freitag, 28 November 2008 um 15 Uhr die traditionelle Diplomübergabe des 28. Jahrganges durchführen. Dieses Jahr beginnt am gleichen Abend um 18 Uhr die Festveranstaltung für das 30-jährige Bestehen des Instituts unter der Schirmherrschaft des Präsidenten des Conseil régional de Lorraine, Jean Pierre Masseret, et des Ministerpräsidenten des Saarlandes, Peter Müller, in Anwesenheit des Präsidenten der Universität Metz, Luc Johann, des Rektors der Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes, Wolgang Cornetz, und des Präsidenten der Deutsch-französischen Hochschule, Dieter Leonhard.
Diese Kooperation ist eine einzigartige Erfolgsgeschichte. Am Abend des 28. Novembers wird dieser Jahrestag mit offiziellen Ansprachen und einer Konferenz zu den deutsch-französischen Beziehungen, die von M. Cullin, dem früheren Generalsekretär des Deutsch-Französischen Jugendwerks (DFJW), geleitet wird. Ein Empfang schließt sich daran an.
1978 wurde die Kooperation durch einen Regierungsbeschluss begründet. Es ist die älteste deutsch-französische Kooperation, die für viele weitere Projekte dieser Art schnell ein Vorbild wurde. Seit seiner Grüdnung hat das ISFATES einige Reformen erlebt und kann jetzt > sechs Studiengänge (- Sciences de gestion, – Logistique, – Informatique, – Génie mécanique, – Génie civil, – Génie électrique) auf der Ebene der „Licence“ und des Masters anbieten. Seit 30 Jahren hat das ISFATES 2000 Absolventen mit perfekten zweisprachigen Kenntnissen, die bestens mit der Kultur des Nachbarlandes vertraut sind, in das Berufsleben entlassen.
Vendredi, 28 novembre 2008, à l’Arsenal à Metz
Cérémonie de remise des diplômes à partir de 15h
Cérémonie anniversaire « les 30 ans de l’Isfates » à partir de 18h
> Institut Supérieur Franco-Allemand de Techniques, d’Economie et de Sciences ISFATES
> Hochschule für Technik und Wirtschaft des Saarlandes HTW
Moins d’argent pour la coopération franco-allemande ?
Dienstag, 25. November 2008
Il paraît que la direction de Radio France Internationale, selon le Frankfurter Allgemeine Zeitung du 25 novembre 2008, envisage de fermer son > service allemand. C’est certainement une question d’argent. Mais les responsables devraient voir plus loin. Est-ce qu’ils ont réfléchi sur l’impact de la richesse de leur > service allemand sur les Allemands non francophones ? La richesse de la culture française sur ce site est pour eux une incitation importante d’aller en France et aussi d’apprendre le français. Si notre blog remplit chaque jour un grand hall avec ses vistiteurs, le site du service allemand de Radio France attire certainement beaucoup plus de visiteurs. Et on de doit les abandonner.
De même, > Le Centre d’information et de recherche sur l’Allemagne contemporaine (CIRAC) fondé en 1981 paraît menacé. Son Président est > Alfred Grosser, Professeur émérite, Institut d’études politiques de Paris. Le CIRAC n’a pas encore reçu le soutien financier de la part due Ministère des Affaires étrangères.

Es gibt anscheinend Pläne der Direktion von Radio France Internationale, so berichtet die Frankfurter Allgemeine Zeitung am 25. November 2008, den > deutsch-sprachigen Dienst ihres Senders zu schließen. Ist das nur eine Frage des Geldes? Aber die Verantwortlichen müssten doch über den Rand ihrer Kasse hinausschauen. Haben sie wirklich über die Auswirkungen der kulturellen Vielfalt ihres > deutschen Dienstes auf die nicht frankophonen Deutschen nachgedacht? Diese Vielfalt ist doch die beste Einladung nach Frankreich zu kommen und auch gleichzeitig eine Einladung, Französisch zu lernen. Wenn unser Blog jeden Tag mit seinen Besuchern eine ganze Halle füllt, dann dürfte die Website des deutschsprachigen Dienstes und damit der deutschsprachige Dienst von Radio France bestimmt noch eine viel größere Aufmerksamkeit erhalten, und das gibt man doch nicht einfach auf?
Und das > Centre d’information et de recherche sur l’Allemagne contemporaine (CIRAC), das 1981 gegründet wurde, scheint auch bedroht zu sein. Sein Präsident ist > Alfred Grosser, Emeritus des Institut d’études politiques de Paris. Das CIRAC hat noch nicht die jährliche Finanzunterstützung des französischen Außenministeriums erhalten.
Allgemein, Deutsch-französische Beziehungen | Kommentare (0)
Une interview avec Marc Lévy
Dienstag, 25. November 2008Récemment, Svetlana Okara, Jan-Niclas Siemß, Simon Spendler ont posé des questions à > Marc Lévy. Son dernier livre Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites, est paru aux éditions Robert Laffont en 2008. Ses livres sont traduits en 38 langues. Les élèves qui ont formulé les questions appartiennt à la Premiére – Profilfach Französisch. Leur pofesseur est Susan Wessin > Frankreich und Französischunterricht im Internet:
Questions à Marc Levy
1. Est-ce qu’il était très difficile pour votre père de former sa vie après la guerre ou est-ce qu’il s’est habitué vite à la vie nouvelle?
Oui, c’était je pense très difficile de revenir à la vie, d’effacer de sa mémoire les souffrances vécues. Mais le vrai combat que Jeannot et ses copains ont mené était un combat contre la haine et la seule expression de leur victoire, celle de pouvoir vivre une vie normale. Il a fallu un certain temps, mais il y est arrivé.
2. Est-ce qu’il a y eu beaucoup de résistants en France?
Tout dépend quand ? Au début de la guerre à peine quelques uns, plus les
années ont passé et plus il y en a eu… de plus en plus les derniers mois, et
beaucoup plus encore après la guerre… si vous voyez ce que je veux dire !
3. Est-ce qu’il a y eu plus de partisans que de résistants en France?
Partisans et résistants, c’est un peu la même chose…. Vous voulez peut-être
dire « Est-ce qu’il y a eu plus de miliciens que de résistants » ? Encore une fois,
tout dépend de quelle période, mais une chose est certaine, il y a eu
beaucoup de trop de miliciens, et pendant longtemps, leur nombre
surpassait ceux des résistants.
4. Pourquoi est-ce que vous ne vivez pas en France?
Simplement parce que j’ai toujours aimé vivre à l’étranger et en étranger.
C’est une façon de voir le monde, de rester toujours ouverts à la différence
des autres, à s’intéresser à d’autres cultures. Je crois que vivre en étranger est
une école quotidienne d’humilité.
5. Est-ce que votre fils préfère la culture française ou la culture anglaise?
Il apprécie les deux, Louis est un Français qui a grandi en Angleterre, il s’est
enrichi des deux cultures et apprécie aussi la culture d’autres cultures qui
l’intéressent.
6. Est-ce que votre fils a lu le livre « Les enfants de la liberté » ? Qu’est-ce qu’il pense des actions de son grand-père pendant la résistance ?
Oui bien sûr il l’a lu. La question qu’il s’est posée est celle que presque tous nous nous posons. Aurais-je eu le cran d’entrer dans la résistance ? Louis aime son Grand-père et tout comme moi, il était fier de lui, bien avant d’apprendre qu’il avait été dans la résistance.
7. Qu’est-ce que vous pensez de votre livre après avoir investi beaucoup de temps ?
Je suis simplement heureux d’avoir raconté l’histoire de ces adolescents, parce qu’il existe encore beaucoup d’enfants de la liberté de par le monde.
8. Pouvez-vous dire quelque chose sur la relation franco-allemande ? Est-ce que cette relation s’est développée d’une façon souhaitable?
Elle s’est développée d’une façon formidable et elle prouve à tous ceux qui ne croient pas en la réconciliation des peuples qu’ils se trompent. Je peux vous dire que je me sens très proche du peuple Allemand, j’ai un amour sincère pour lui, et j’aime certaines de vos villes au point que je pourrai tout Ã
fait y vivre. Soyons clair, Il n’est pas un peuple en Europe qui ait plus réfléchi sur le Fascisme et ses exactions que le peuple Allemand. Il n’est pas un peuple en Europe qui ait autant étudié, compris et tiré les enseignements de ces années noires. Je trouve aussi merveilleux qu’exemplaire, qu’aujourd’hui, les deux nations soeurs qui symbolisent le mieux l’Union Européenne soient précisément la France et l’Allemagne.
Avec mes amitiés à vous tous.
Marc Levy
Kürzlich haben Svetlana Okara, Jan-Niclas Siemß, Simon Spendler > Marc Lévy einige Fragen gestellt und uns auch seine Antworten geschickt. Das letzte Buch von Marc Lévy Toutes ces choses qu’on ne s’est pas dites ist 2008 im Verlag Robert Laffont erschinene. Seine Bücher sind in 38 Sprachen übersetzt. Die Schüler, die die Fragen gestellt haben, sind in der 11. Klasse der Thomas-Mann-Schule – Profilfach Französisch. Ihre Lehrerin Susan Wessin hat nicht nur für sie, sondern für alle Schüler in diesem Land eine Linksammlung aufgebaut :> Frankreich und Französischunterricht im Internet:
Klicken sie bitte auf die französische Flagge, um das Interview mit Marc Levy zu lesen.
10e Conseil des ministres franco-allemand :
Sarkozy et Merkel à Paris
Montag, 24. November 2008
Lisez aussi > l’interview avec Frank-Walter Steinmeier, vice-chancelier allemand, LE MONDE 24 novembre 2008
> Conférence de presse au Palais de l’Elysée, 24 novembre 2008
> Pressekonferenz von Staatspräsident Nicolas Sarkozy und Bundeskanzlerin Angela Merkel Auf der Website der Bundesregierung
Lesen Sie auch > das Interview mit Frank-Walter Steinmeier, LE MONDE 24. November 2008
> Pressekonferenz im Elyseepalast, 24. November 2008
Comment devenir un ami de www.google.fr ?
Sonntag, 23. November 2008Il faut aider Google.fr un peu > france blog klett et puis les résultats affichent le blog.
Peut-être les titres allemands irritent-ils Google ? Mais, pourtant, j’écris souvent les titres en français. Google n-t-il pas compris qu’il s’agit d’un blog bilingue?
Avant de chercher davantage, j’ai eu l’idée de poser cette question ici. Peut-être un/une de nos lecteurs a une bonne idée comment le blog pourrait-il mieux être pris en compte par goolge.fr.
Erst wenn ich Google einen Tipp gebe: > france blog klett dann kommt das Blog.
Liegt das an den meist deutschsprachigen Titeln ? Die sind aber auch oft auf französisch formuliert. Vielleicht weiß eine/r unserer Leser/innen einen Rat?