Institut français Allemagne –
Frankfurter Buchmesse Halle 5.0. Stand D88
Montag, 6. Oktober 2014
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Prix Franz Hessel : Un Prix Fracno-allemand de lIttérature contemporaine
Frankfurter Buchmesse, Arte Stand, Halle 4.1 Stand F1
Le 8.10.2014, 16h00 – 16h40
Un dialogue entre les derniers lauréats sur le stand d’ARTE à la Foire du livre à Francfort.
Le Prix Franz Hessel est un prix littéraire franco-allemand qui récompense chaque année deux jeunes auteurs, l’un allemand, l’autre français, et qui ne sont pas traduits dans l’autre langue.
Il est conçu par la Fondation Genshagen (région Brandebourg) et la Villa Gillet (Lyon), avec le soutien du délégué du gouvernement fédéral allemand à la Culture et aux Médias (BKM) et du Ministère français de la Culture et de la Communication. En février, le prix a été remis à Frédéric Ciriez et Jonas Lüscher.
Modération : Thorsten Dönges, Literarisches Colloquium Berlin
En collaboration avec : Stiftung Genshagen et ARTE
Le Maroc s’enage pour la lecture
Frankfurter Buchmesse – Bühne LitCam live !, Halle 3.1 B 33,
jeudi 9.10.2014, 12h30 – 13h30
Au Maroc, la lecture n’est guère encouragée et la littérature intéresse peu la presse écrite. Pourtant, via Internet, des actions de promotion de la lecture et des critiques littéraires se développent, surtout sur les réseaux sociaux. Pour soutenir ces premières tentatives, la fondation de l’Institut des Hautes Études de Management et l’Institut français du Maroc ont fondé des clubs de lecture dans six différentes villes. Le but est de susciter chez les citoyens le
plaisir de lire et de soutenir l’intérêt général pour les livres.
Amina Hachimi Alaoui (Maroc) : Directrice de la maison d’édition Yanbow Al et fondatrice de la librairie d’art « Le Carrefour des Arts »
Driss Ksikes (Maroc) : Dramaturge et journaliste, directeur du centre de recherches de l’Institut des Hautes Études de Management à Rabat
Paul de Sinety (France/Maroc) : Directeur adjoint de l’Institut français du Maroc Modération : Karin Plötz, Directrice de la LitCam
En anglais
Littérature jeunesse – Lecture de Delphine Bournay
Institut français de Mayence, Schillerstr. 11, 55116 Mainz
Vendredi 10.10.2014, 10h00 – 12h00
L’auteur et illustratrice française Delphine Bournay est nominée cette année pour le Prix allemand de la Littérature Jeunesse . Son livre illustré „Grignotin et mentalo – les animaux sauvages“ (L’Ecole des loisirs/“Krümel und Pfefferminz“, traduit par Julia Süßbrich, Hanser Verlag) aborde des sujets philosophiques profonds, à travers les drôles de personnages de Grignotin et Mentalo.
La remise du prix aura lieu le vendredi, 10 octobre 2014, dans le cadre de la Foire du livre à Francfort.
À cette occasion, l’Institut français de Mayence organise une lecture :
Langues : français/allemand
Le Capital au 21ème siècle – Conférnce de Thomas Piketty
Université Goethe de Francfort, Grüneburgplatz 1, HZ 2, 60323 Francfort
Vendredi 10.10.2014, 14h00 – 16h00
Conférence de Thomas Piketty, économiste et professeur à l’EHESS et à la Paris School of Economics.
Son livre « Le capital au 21ème siècle » (Seuil, 2013), dans lequel il analyse la prospérité et l’inégalité dans 20 pays différents, a eu un écho international.
À l’occasion de la parution en allemand de ce livre sous le titre « Das Kapital im 21. Jahrhundert » (C.H. Beck), Thomas Piketty tiendra une conférence à destination des étudiants et de tous les Francfortois.
La version allemande du livre sera disponible pour la première fois à cette occasion.
Langue : anglais – Entrée libre
Une manifestation du Forschungskolleg Humanwissenschaften de la Goethe-Universität et de l’Institut français d’histoire en Allemagne (Francfort).
En collaboration avec le C.H. Beck-Verlag et la Société franco-allemande de Francfort.
Transformer la cité
Frankfurter Buchmesse – Bühne des Weltempfangs, Halle 5.0 E 81
Samedi 11.10.2014, 15h00 – 16h00
La ville crée des non-lieux et des habitants invisibles, des quartiers sans âme, parfois sans fonction. La littérature et l’art peuvent-ils penser la cité autrement ? Sont-ils à même de donner une voix à ceux qui n’en ont pas, une signification à ces lieux relégués ? Comment les artistes appréhendent-ils la ville et ses différentes couches ? Quel peuvent être leur impact sur la politique urbaine ?
Yannick Haenel (France) : L’auteur de „Jan Karski“ (Gallimard) revient avec un nouveau roman consacré cette fois aux exclus et marginaux de nos villes. Avec „Les Renards pâles“,l’écrivain imagine une révolution au coeur de Paris.
Niccolò Bassetti (Italie) est urbaniste et paysagiste, et se concentre sur les sites dont l’identité et la mémoire se sont perdues. Il a initié le projet „SACRO GRA “ consacré à l’Autostrada del
Grande Raccordo Anulare , le périphérique romain, et à ses habitants. Un livre, une exposition et un film ont vu depuis le jour. Le film, réalisé par Rosi, a remporté le Lion d’Or à Venise.
Juan López-Aranguren Blázquez représentera le Collectif basurama (Espagne) : ces architectes issus de l’Ecole d’architecture de Madrid proposent des projets urbains alternatifs utilisant autrement les ressources et les biens de consommation.
Modération : Michele Sciurba, Galerie Art Virus Frankfurt am Main
Langues : allemand, français, italien, espagnol
traduction simultanée et consécutive
Une manifestation d’EUNIC Frankfurt am Main, le réseau des instituts culturels européens de Francfort et en collaboration avec la Frankfurter Buchmesse/Weltempfang
10 ans après la Génocide Rwandais. Littérature et mémoire.
Frankfurter Buchmesse, Bühne des Weltempfangs, Halle 5.0 E 81
Dimanche 12.10.2014, 13h30 – 14h30
Un dialogue entre Scholastique Mukasonka et Lukas Bärfuss
Vingt ans ont passé depuis le génocide au Rwanda. Comment la littérature peut-elle combattre l’oubli et l’indifférence, sans banaliser l’épouvante et anéantir le lecteur ? La fiction peut-elle raconter l’indicible et si oui, avec quels moyens ? Dans des romans aux accents très différents, deux auteurs étudient les abîmes et les contradictions de l’histoire et de l’homme. Scholastique Mukasonga quitte le Rwanda en 1973 pour le Burundi. Depuis 1992, elle vit en
France. Elle a perdu presque toute sa famille pendant les massacres. Son quatrième livre, « Notre-Dame du Nil », qui a remporté le « Prix Renaudot » en 2012, décrit le contexte de l’émergence de la violence à l’échelle d’un lycée de jeunes filles. Il est traduit en allemand chez Wunderhorn.
Lukas Bärfuss (Suisse) : un des dramaturges et écrivains germanophones les plus connus.
Dans son premier roman « Cent jours, cent nuits » („Hundert Tage“, traduit en français chez L’Arche, 2009), il pose la question de la coresponsabilité européenne dans le génocide rwandais.
Modération : Manfred Loimeier, journaliste et spécialiste de littérature africaine
En collaboration avec : Litprom – Gesellschaft zur Förderung der Literatur aus Afrika, Asien
und Lateinamerika et la Frankfurter Buchmesse/Weltempfang
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Noch ein Nachtrag zur Reise nach Marokko… dort gab es einfach nicht genug Zeit zu schreiben. Am Freitag, 26. 11., haben mir zwei Studenten aus dem Philosophischen Seminar das Volkskunstmuseum Musée de Batha und die Medina gezeigt und am Samstag hat mich dort Professor Bennani geführt. 400 000 Einwohner hat die Medina von Fès, und seit 1976 hat die UNESCO die Medina auf die Liste des schützenswerten Weltkulturerbes gesetzt. Seitdem gibt es umfangreiche Projekte, um die Infrastruktur der Medina zu restaurieren. Fahrzeuge gibt es in der Medina nicht, dazu sind die Gassen zu eng. Alle Transporte werden auf dem Rücken von Eseln ausgeführt.
Im Atelier von Hassan Jamil, (N° 10 Sid Al Akoudi, Fondouk Lihoudi) der kürzlich eine Ausstellung im Café Mezzo in Hannover hatte, fanden wir wunderbare Bilder, die die Medina im Überblick und einzelne Gassen zeigen. Eine Orientierung in dem Gewirr von Gassen ist nicht einfach, so war ich meinen Begleitern sehr dankbar, die mir bei diesen Rundgängen so viele interessante Eindrücke verschafft haben. Am Montag gab es dann in der Universität von Fès um 10 Uhr einen Vortrag über Camus und die Kunst. Nach dem Vortrag stellten die Studenten eine Stunde lang Fragen vor allem nach dem Zusammenhang von Kunst und Moral. Am Dienstag gings mit dem Zug nach Rabat und dort, wie bereits berichtet, ins Goethe-Institut.
Zu der Marokko-Reise hatte mich das Goethe-Institut von Rabat eingeladen. Nach den Vorträgen in Fès ging es mit der Eisenbahn am 31. Oktober nach Rabat. Dort empfing mich der Leiter des Goethe-Instituts, Dieter Strauss. Zusammen sind wir dann am Mittwoch zu der Germanistischen Abteilung der Universität Rabat gefahren. Dort fand der Vortrag über Schiller und Sartre auf deutsch statt: „Die Kunst ist eine Tochter der Freiheit,“ schrieb Friedrich Schiller und Jean-Paul Sartre verstand die Kunst als einen Appell an die Freiheit. Beide teilten die Überzeugung, daß die Kunst als Garant der Freiheit den Ideologien, jeder Unterdrückung und somit auch der Politik immer überlegen ist. Beide lebten in unterschiedlichen Epochen und beide wiesen mit ihren eignen Werken auf den unauflöslichen Zusammenhang zwischen der Freiheit und der Kunst hin. Beide hinterlassen eine Art gemeinsames Vermächtnis, das auch heute noch die Verpflichtung der Künstler und Intellektuellen gegenüber der Kunst beschreibt.“
Le premier jour à Fès, la conférence Sartre et l’esthétique a eu lieu à 14 h 30 suivie d’un séminaire sur Qu’est-ce que la littérature? qui a été repris le lendemain à 10 heures. Les étudiants avaient tous lu le livre et ils avaient donc parfaitement préparé le séminaire. Lundi matin, la conférence sur Camus et l’art aura lieu à 10 heures. L’accueil chaleureux par les professeurs et les étudiants de l’Université de Fès m’a beaucoup impressioné.

