Il, elle und jetzt auch „iel“?

Le Robert, un dictionnaire français bien connu, a ajouté à son offre en ligne un pronom personnel neutre en genre > „iel“, issu des deux pronoms personnels „ile“ et „elle“, et il existe même une forme plurielle „iels“. Le Robert, un dictionnaire français bien connu, a ajouté à son offre en ligne un pronom personnel neutre en genre > „iel„, issu des deux pronoms personnels „ile“ et „elle“, et il existe même une forme plurielle „iels“.

Je soutiens évidemment la protestation de @FJolivet36 vis-à-vis du #PetitRobert
L’écriture inclusive n’est pas l’avenir de la langue française.
Alors même que nos élèves sont justement en train de consolider leurs savoirs fondamentaux, ils ne sauraient avoir cela pour référence: https://t.co/09thJzQ7iN

— Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) November 16, 2021

Il s’agit donc du „gender“. Ses partisans déplorent la prédominance des formes masculines et confondent le sexe biologique et grammatical de la langue. Si les défenseurs du genre étaient cohérents, il faudrait aussi introduire des formes „iel“ pour les adjectifs… et une victime au masculin, pour la victime et que fait-on avec le couple ? „La couple“ a en effet un autre sens. Ça se complique avec „les gens“ : „1. Il veut au féminin les adjectifs ou les participes qui le précèdent, et au masculin ceux qui le suivent : de vieilles gens, des gens résolus“. „Enfant“ existe au féminin et au masculin… va-t-on inventer une nouvelle forme ? Et que se passe-t-il avec „le mannequin“ ou „la vedette“ ? Et que fait-on des > substantifs féminins qui peuvent désigner un homme ? „la sentinelle“ ? Les hommes pourront-ils aussi monter la garde à l’avenir ?

Reinhard Bingener a publié jeudi 18 décembre 2022 dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung, sous le titre > Ist Gendern eine Staatspflicht ? une expertise juridique commandée par la ville de Hanovre, dans laquelle la professeure Ulrike Lembke (Humboldt Universität Berlin) se prononce avec force en faveur du gender : „Lembke déduit plutôt de la Loi fondamentale une obligation pour les services de l’Etat d’utiliser à l’avenir un langage adapté au genre et de renoncer également aux salutations binaires telles que „Très chères Mesdames et Messieurs“.

Le Robert, ein bekanntes französisches Wörterbuch hat in sein Online-Angebot ein geschlechtsneutrales Personalpronomen > „iel„, das aus den beiden Personalpronomen „ile“ und „elle“ entstanden ist, aufgenommen und es gibt sogar auch eine Pluralform „iels“. Der Jubel der Befürworter ist groß. Wenn man sich aber dabei aber nicht irrt, denn die Kritiker schweigen nicht:

Je soutiens évidemment la protestation de @FJolivet36 vis-à-vis du #PetitRobert
L’écriture inclusive n’est pas l’avenir de la langue française.
Alors même que nos élèves sont justement en train de consolider leurs savoirs fondamentaux, ils ne sauraient avoir cela pour référence: https://t.co/09thJzQ7iN

— Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) November 16, 2021

Es geht also um das Gendern. Dessen Befürworter beklagen die vorherrschenden maskulinen Formen und verwechseln das biologische und grammatische Geschlecht der Sprache. Wären die Gender-Vertreter konsequent, müsste man auch „iel“-Formen für Adjektive einführen… und ein männliches Opfer, für la victime und was macht man mit le couple? „La couple“ hat ja einen anderen Sinn. Kompliziert wird es mit „les gens“ : „1. Il veut au féminin les adjectifs ou les participes qui le précèdent, et au masculin ceux qui le suivent : de vieilles gens, des gens résolus.“ „Enfant“ gibt es weiblich und männlich… wird man da eine neue Form erfinden? Und was passiert mit „le mannequin“ oder „la vedette“? Und was macht man mit den > weiblichen Substantiven, die einen Mann bezeichnen können? „la sentinelle“ ? Dürfen künftig auch Männer Wache halten?

Reinhard Bingener hat am Donnerstag, 18. Dezember 2022 in der Frankfurter Allgemeinen Zeitung, unter der Überschrift > Ist Gendern eine Staatspflicht? über ein Rechtsgutachten, dass die Stadt Hannover in Auftrag gegeben hat, und in dem die Professorin Ulrike Lembke (Humboldt Universität Berlin) sich mit Nachdruck für das Gendern ausspricht: „Lembke leitet aus dem Grundgesetz vielmehr eine Pflicht für staatliche Stellen ab, künftig gendergerechte Sprache zu verwenden und auch auf binäre Anreden wie „Sehr geehrte Damen und Herren“ zu verzichten.“