Avant hier soir, j’ai pris le train, je suis revenu aujourd’hui avec un grand paquet de journaux sous le bras: Lundi, 3 mars, LE FIAGRO a publié un article de Bruno Jeudi „Le couple Sarkozy-Fillon à lépreuve des sondages“ qui a entretemps – sur le site Interet du journal – recu un nouvel titre >
Sarkozy et Fillon : les pistes pour l’après-municipales LE FIGARO, 3 mars 2008. Plus d’alarme, on prépare en toute tranquillité la semaine après les Municipales. Bruno Jeudi écrit qu’on appelle, dans l’entourage du premier ministre, François Fillon, les relations entre lui et le président de la République, Nicolas Sarkozy, n’étant pas „mauvaises“ mais „fonctionnelles.“
Qu’est ce que ce la veut dire? Lundi Fillon réalisait après un sondage de Libération un score de 53 % tandis que Sarkozy ne peut que compter que 37 % de réponses positives. Le tout dernier sondage annonce une amélioration légère de la cote du président mais aussi de celui de son premier ministre. L’espacement de leurs courbes pourrait amener le président à en réfléchir, surtout si le deuxième tour des élections municpales du 19 mars demande un réaction. Mais a-t-il des options ? > L’article 8 de la Constitution de 1958 donne au président de la République le droit de nommer le premier ministre. Peut-il changer le premier ministre? Continuons la lecture de l’article 8: „Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.“ Evidemment, chaque président de la Ve République n’a pas hésité de demander, si cela lui paraissait utile, de mander au rmier minister de bien vouloir présenter la démission du gourvernment.
Et on avance déjà des noms, même au FIGARO, proche du pouvoir, comme Henry Guaino, conseiller spécial du président de la Republique. Ou le sécretaire général de l’Elysée, Claude Guéant pourrait entre au gouvernement. Ceci dit, comme l’écrit Libération le 3 mars, les municipales laisseront le premier-ministre en place mais changent le cabinet du président de la République. Il est de coutume, qu’on ne connaît guère les noms de son équipe. Mais ces „princes héritiers sans légitimation démocratique“ (Frankfurter Allgemeine Zeitung, 4 mars 2008) sont de plus en plus placés sur la scène publique par leur patron. Les changer comme des ministres pourrait très bien devenir une option du président si un remaniement gouvernemental ne paraît pas opportune pour cause de popularité.
Et le les lecteurs du FIGARO peuvent se prononcer: Fillon doit-il rester à Matignon après les municipales ? > Figaro Oui Figaro Non
> Fillon, le négatif du Président, Libération, 3 mars 2008
> François Fillon devance Nicolas Sarkozy de 19 points, LE FIGARO, 23 février 2008
Dernière information: > La cote de popularité de Sarkozy remonte, LE FIGARO, 3 mars 2008
> Les conseillers de l’Élysée sous le feu des critiques LE FIGARO, 21 février 2008
> Les Municipales, 9 et 16 mars 2008
Vorgestern abend bin ich mit dem Zug weggefahren und heute mit einem ganzen Stepel Zeitungen unterm Arm wiedergekommen. Am Montag, 3. März, hat der FIAGRO einen Artikel von Bruno Jeudi „Le couple Sarkozy-Fillon à lépreuve des sondages“ gedruckt, der – auf der Internetseite der Zeitung eine neue Überschrift >
Sarkozy et Fillon : les pistes pour l’après-municipales, LE FIGARO, 3. März 2008 erhalten hat. Jetzt klingt sie viel positiver. Keine Alarmstimmung mehr, sondern man bereitet die Zeit nach der Wahl vor. Jeudi schreibt, dass man in der Umgebung des Premierministers, François Fillon, die Beziehungen zwischen ihm und dem Staatspräsidenten Nicolas Sarkozy, als nicht „schlecht“ aber „funktional“ – geschäftlich – bezeichnet.
Was heißt das? Montag bescheinigte die letzte Umfrage Fillon 53 % Zustimmung, während Sarkozy nur noch 37 % erhielt. Die letzte Umfrage gibt eine leichte Verbesserung der Werte des Präsidenten an, während auch gleich die von Fillon gestiegen sind. Die Schere, die sich zwischen ihren beiden Umfragewerten auftut, könnte den Präsidenten angesichts der Wahlergebnisse der Gemeinderatswahlen nach dem zweiten Wahlgang am 19. März dazu veranlassen, Maßnahmen zu ergreifen. Welche Optionen hat er? Der Artikel > 8 der Verfassung von 1958 gibt dem Päsidenten das Recht, den Premiminister zu ernennen. Könnte er ihn auswechseln? Lesen wir den Artikel 8: „Er entläßt ihn aus seinem Amt, wenn dieser ihm den Rücktritt der Regierung anbietet.“ Natürlich hat jeder Präsident der V. Republik nicht lange gezögert, wenn es ihm vorteilhaft erschien, den Premierminister zu bitten, den Rücktritt der Regierung anzukündigen.
Man nennt auch schon Namen, auch im Artikel des FIGARO, der eigentlich ganz regierungsnah oder -treu ist, wie Henry Guaino, Sonderberater des Präsidenten. Oder der Generalsekretär Im Elyseeplast, Claude Guéant, könnte in die Regierung eintreten. Das heißt, wie es Liberation am 3. März schreibt, die Gemeinderatswahlen würden den Premierminister unbehelligt lassen, aber das Kabinett des Präsidenten würde verändert werden. Früher kannte man die Namen seines Kabinetts kaum. Aber diese „Erbprinzen ohne demokratische Legitimation“ (Frankfurter Allgemeine Zeitung, 4 mars 2008) werden von ihrem Chef immer häufiger auf die vorderste Bühne gebracht. Und sie werden sicher auch auf seine Weisung hin ausgewechselt, vor allem wenn ein Regierungswechsel schon allein aus Popularitätsgründen schon gar nicht angezeigt ist.
Und die Leser des Figaro können ihre Meinung abgeben: Sollte Fillon nach den Gemeindratswahlen in Matignon bleiben? > Figaro Oui Figaro Non
> Fillon, le négatif du Président, Libération, 3 mars 2008
> François Fillon devance Nicolas Sarkozy de 19 points, LE FIGARO, 23 février 2008
Dernière information: > La cote de popularité de Sarkozy remonte, LE FIGARO, 3 mars 2008
> Les conseillers de l’Élysée sous le feu des critiques LE FIGARO, 21 février 2008
> Les Municipales, 9 et 16 mars 2008