Le rejet: La fin de la Loi Hadopi ?
Scheitert das Gesetz gegen Raubkopierer endgültig?
Donnerstag, 9. April 2009
Le texte de la loi était contesté aussi parmi les députés de la majorité. Les dispositifs prévus par le projet sont trop incertains, disent ses critiques. Comment veut-on repérer systématiquement les adresses IP des ordinateurs soupçonnés de télécharger des contenus illégaux? Et comment mettre en marche l’énorme machinerie de la riposte graduée, un moyen de sanction d’un type nouveau?
L’échec du projet devrait conduire à l’arrêt pur et simple de ce projet, comme le souhaitent ses adversaires. Mais le gouvernement ne veut pas abandonner et il représente le projet de loi à partir du 28 avril.
La Syndicat national de l’édition photographique déplore les pertes causées par le téléchargement à tous les créateurs, les artistes et les producteurs. Les opposants au projet ne sont pas convaincus que le téléchargement illégal des fichiers nuit aux chiffres de vente.
C’est un ancien débat et il n’y a pas une ligne de partage nette entre les adhérents et les opposants au téléchargement illégal. Même parmi les artistes, il y en a qui pensent que leurs Å“uvres circulent mieux si une loi ne réprime pas leur téléchargement par Internet. D’autres pensent avec soucis à la perception des droits d’auteurs face au piratage.
“La riposte graduée” semble indiquer que les auteurs du projet ne sont pas vraiment décidés à réprimer tout simplement le piratage par une seule sanction. Regardons pour uu moment au-delà de l’industrie du cinéma et du film. Il y a encore une autre ligne de partage. Il y le monde du tout gratuit comme Wikipédia ou beaucoup, souvent d’une manière anonyme (Pourquoi??) contribuent des textes et souhaitent l’effacement des textes de leurs collègues anonymes. Et il y a des maison d’éditions avec leurs auteurs, traducteurs et rédactions qui: à bon droit, se font des soucis face à une culture du tout gratuit.
Pourquoi Google publie une partie mon livre sur Google-Books? Sans m’offrir en contre-partie ce qui m’est dû? Le service de Google est comme contrepartie pour mes droits d’auteurs? Et mon livre contribue à améliorer les résultats de recherche? Et Google ne me paie pas pour ce service ?
André Gunthert, > Hadopi : surveiller et punir Internet – Le Monde Diplomatique
Der Gesetzesvorschlag ist auch unter den Abgeordneten der Mehrheit umstritten. Die Vorgaben des Gesetzes sind zu ungenau, sagen die Kritiker. Wie will man denn systematisch die IP-Nummerns der Film- und Musikpiraten ermitteln? Wie hoch wird der Aufwand für eine Behörde sein, die “abgestufte Antwort” – eine ganz neue juristische Sanktion – zu realisieren?
Die Abstimmungsniederlage müsste gemäß den Gegnern das Ende des Gesetzesvorhaben bedeuten. Aber die Regierung will nicht aufgeben und das Gesetz nach dem 18. April erneut zur Abstimmung auf die Tagesordnung schreiben.
Das Syndicat national de l’édition photographique bedauert die Verluste, die durch das illegale Herunterladen und Verbreiten allen Kunstschaffenden und den Produzenten verursacht wird. Die Gegner des Gesetzes sind hingegen nicht überzeugt, dass das illegale Herunterladen den Verkaufszahlen schade.
Das ist eine alte Debatte und es gibt keine klare Grenze zwischen den Befürwortern und den Gegnern dieser Verbreitungsart über das Internet. Selbst unter Künstlern gibt es manche, die glauben, ihre Werke werden besser bekannt, wenn ein Gesetz ihre Verbreitung durch das Internet nicht behindert. Andere denken mit Sorge an den Verlust der Einnahmen angesichts der zunehmenden Piraterie
Die “abgestufte ANtwort oder Vergeltung” scheint anzudeuten, dass die Autoren des Gesetzes ihr Vorhaben selbst nicht geheuer ist und sie nicht wirklich davon überzeugt sind, dass die illegale Verbreitung einfach so unter eine Strafe gestellt werden muss. Betrachten wir auch die anderen Kulturbereiche außer Film und Musik. da gibt es noch andere Grenzen. Es gibt die Welt, wo alles kostenlos ist,wie zum Beispiel Wikipedia, wo viele oft anonym (Warum eigentlich??) Texte und Inhalte beitragen und auch die Löschung der Inhalte ihrer oft ebenfalss anonymen Kollegen wünschen ud oft auch durchsetzen. Und es gibt Verlagshäsuer, die mit ihren Autoren, Ãœbersetzern und Redaktionen sich aus gutem Recht um die Effekte der Gratiskultur Sorgen machen.
Warum macht Google eigentlich Teile meines Buches auf Google-Books öffentlich zugänglich? Und warum kriege ich nichts dafür? Soll die Veröffentlichung über Google der Lohn sein, der mir zusteht? Und die Inhalte meines Buches verbessern das Suchergebnis bei Google, also stehen mir sehr wohl Tantiemen zu.
André Gunthert, > Hadopi : surveiller et punir Internet – Le Monde Diplomatique
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