Archiv für die Kategorie 'Literatur'

Albert Camus, L’étranger

Sonntag, 14. Februar 2016

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Auf unserem Blog:

> Albert Camus: Von L’étranger bis La chute

> L’étranger: Lire un roman

Raphaël Enthoven liest Marcel Proust

Dienstag, 9. Februar 2016

> Veranstaltungsreihe 28.2.-4.2.2016 mit einer Austellung Institut français de Stuttgart

LITERATURKONZERT ALBERTINE – PROUST UND DIE FRAUEN
Fr 5.2. | 20.00 Uhr | Literaturhaus Stuttgart
Mit dem französischen Philosophen Raphaël Enthoven und dem Pianisten Karol Beffa

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Sartre , ses voyages, la philosophie et l’esthétique
Interview de Michel Sicard, lundi 25 janvier 2016

Donnerstag, 4. Februar 2016

Dans > nos entretiens sur Sartre et son esthétique, nous avons aussi évoqué ses voyages, mais il y a encore un sujet important, ce sont ses façons différentes de faire fonctionner les concepts, venus de l’Orient et de l’Occident et de profiter de leurs échanges. On peut dire que Sartre quitte souvent la sphère des concepts rationalistes occidentaux… situons d’abord le sujet de notre entretien par rapport à l’œuvre de Sartre. Et j’ai demandé à Michel Sicard de nous expliquer ce passage des cultures de Sartre.

Après son agrégation, Sartre voulait aller à Kyoto comme assistent, il a échoué et allait à Berlin, or il a fait ce grand voyage plus tard avec Simone de Beauvoir entre le 18 septembre et le 16 octobre 1966. D’abord Berlin in l’Allemagne…, nous avons déjà rappelé, dans un autre entretien, qu’en 1933 à Berlin, il n’écrit rien sur Hitler et les nazis, par contre, beaucoup ont cru, qu’il a étudié Martin Heidegger à Berlin et qu’on retrouve les fruits de la lecture de Sein und Zeit dans l’Être et le néant. Une question qu’on a souvent posé: Sartre s’est-il laissé influencé par Heidegger ?

Une fois, Sicard m’avait parlé de Heidegger et son livre Acheminement vers la parole, trad. Jean Beaufret,Wolfgang Brokmeier, François Fédier, Gallimard, coll. « Tel »,‎ 1988, 260 p. Heidegger propose une réflexion et une analyse de la compréhension traditionnelle de la parole. Il estime que la parole est « l’expression sonore et la communication des émotions et fluctuations intimes de l’homme ». Et qu’est-ce qu’il y a retenir par rapport à l’œuvre de Sartre?


Rappel:
> Colloque à Cerisy-la-Salle: Sartre. Littérature et engagement
20 – 30 juillet 2005 Direction : Michel Rybalka und Michel Sicard


Revenons aux rôles des imprégnations d’une culture à l’autre, il y a notamment cette référence implicite vers le Japon, via les Japonais qu’il a connus. Il y Kuki Shuzoet Isaku Yanaihara. Parlons d’abord de Shuzo Kuki (1888-1941) philosophe japonais et professeur.

Il a fait des études à Tokyo et passe de longs séjours en Allemagne, de 1921 à 1924, où il étudie chez Heinrich Rickert, et de 1924 à 1927, il fait, en France, la connaissance de Bergson, il retourne en Allemagne, À Marburg et Freiburg, pour y suivre les cours de Martin Heidegger. Ensuite, Kuki était parmi les premiers qui ont introduit Heidegger au Japon. En France, il fait la connaissance de Sartre, qui avait 23 ans…, Kuki avait 40 ans et recevait un « enseignement philosophie » de Sartre, un enseignement que Thorten Botz-Bornstein dans son article sur Kuki met entre des guillemets. Je voulais savoir de Michel Sicard, si cette rencontre était importante pour Sartre ?

Plus tard, en 1935, Kuki publie Le problème de la contingence, il y a des prolongements jusqu’à l’esthétique, Kuki évoque aussi Proust et le livre de Jean-Marie Guyau, La genése de l’idée de temps, Paris 1912.

Ce qui nous intéresse ici ce sont les rapports de la philosophie á l’art… Les dernières pages de L’imagination de Sartre en 1940 établissent aussi un lien fondamental entre l’art et la liberté.

Isaku Yanaihara (1918-1989). professeur de philosophie à l’université d’Osaka arrive à Paris 1954 pour faire des études. Il fait la connaissance de > Giacometti et devient so modèle jusqu’en 1961. Yanihara a aussi connu Sartre. Il devient son traducteur japonais. A nouveau, une rencontre entre l’art et la philosophie ? Si l’on pense aux développements dans la philosophie et l’imaginaire sartriens, Yanihara y a joué son rôle ?

Après son agrégation, il a échoué avec son projet s’aller à Kyoto, or il a fait son grand voyage au japon plus tard avec Simone de Beauvoir entre le 18 septembre et le 16 octobre 1966. Le livre de Tomiko Asabuki, Vingt-huit jours au Japon avec Jean-Paul Sartre et Simone est paru en 1966 en France. L’Université Keio et les éedtions Jimbun-shoin organisaient trois conférences au Japon, 13, rapporte Hélène de Beauvoir.
Une série de trois conférences: Plaidoyer pour les intellectuels“… ce n’était pas un hasard qu’il avait chois ce sujet pour les conférences au Japon. Il semble qu’il était conscient de la situation des intellectuels au Japon désireux de réfléchir à nouveau sur leur moyen de coopérer et de leurs tâches sociales, comme Simone Müller l’a formulée dans article sur la réception de Sartre au Japon, et c’est vrai que ses trois conférences dans ce petit livre de poche sont une définition essentielle aussi de Sartre lui-même n’est-ce pas ?

En effet, l’influence de l’Orient exerce une influence considérable sur l’œuvre de Sartre, une influence qu’on a un peu négligée et pourtant ce rapport philosophie-art est essentiel pour le développement de son esthétique.

Bibliographie

Asbuki, Tomiko, > Vingt-huit jours au Japon avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir (18 septembre – 16 octobre 1966). Auteur de préface : Richard Chambon, Hélène de Beauvoir. Traducteur : Claude Peronny, Chiharu Tanaka Paris : L’Asiathèque – maison des langues du monde 1966.
Bonardel, Françoise, Existence et vacuité selon Sartre et le bouddhisme zen, dans Bouddhisme et philosophie, Paris: L’Harmattan, 2008.
Botz-Bornstein Thorsten, Shûzô Kuki et la «philosophie de la contingence» française. Une communication unique entre l’Orient et l’Occident, dans : Revue Philosophique de Louvain, Année 1999 Volume 97 Numéro 1 pp. 113-126, Über Th. Botz-Bornstein.
Caeymaex Florence,> « L’existentialisme comme éthique de Heidegger à Sartre. », Les Temps Modernes 4/2008 (n° 650) , p. 248-269.
Heidegger, Martin: Unterwegs zur Sprache (1950-1959) Hrsg. von Friedrich-Wilhelm v. Herrmann 1985. 262 Seiten. Kt 39,00 € ISBN 978-3-465-01690-8 Martin Heidegger Gesamtausgabe 12.
Midal, Fabrice, La rencontre du bouddhisme et de l’Occident est-elle possible sans une méditation de l’oeuvre de Chögyam Trungpa et de Martin Heidegger ?in : Les cahiers bouddhiques n° 3
Morlins, Bernard, > Sublime voyage dans l’atelier de Giacometti, raconté par son ami et modèle Isaku Yanaihara (Allia)
Sawada, Nao, « Sartre et les artistes japonais des années 60 – au miroir du zen »,Bulletin du Département de littérature française, Université Rikkyo, n° 38, 2009, p. 23-35.
Maître Dôgen (永平道元), 19 janvier 1200 – 22 septembre 1253, et Yoko Orimo, Shôbôgenzô – La vraie Loi, Trésor de l’Œil – tome 3. Les textes du Shôbôgenzô de maître Dôgen traduits ici inclus certains des plus célèbres comme Uji, Busshô ou le Genjokôan, Paris: Sully 2007.
Sicard, Michel (commissaire), Sartre et l’art [Catalogue] Vilal Medici, 19 febgraio / 35 marzo 1987. Immaggio a Jean-Paul Sartre, 1987.
—, > Essais sur Sartre. Entretiens avec Sartre 1975-1979, Paris: Galilée 1989.
Yanaihara, Isaku, (1918-1989); Avec Giacometti; Paris: Allia 2014.
Wittmann, Heiner, L’esthétique de Sartre. Artistes et intellectuels, traduit de l’allemand par N. Weitemeier et J. Yacar, Éditions Paris: L’Harmattan 2001.

> > Entretiens : Michel Sicard et Heiner Wittmann

Marcel Proust im Institut français de Stuttgart

Montag, 4. Januar 2016

> Die Veranstaltungsreihe „Marcel Proust – Stoffe der Erinnerung“ des Institut français in Stuttgart widmet sich dem Werk des Schriftstellers sowie seiner Rezeption aus unterschiedlichen Blickwinkeln: Grafische Kunst, Literatur, Musik und Kino
Donnerstag, 28. Januar bis Freitag, 4. März

Ausstellung – Stoffe der Erinnerung – Marcel Proust im graphischen Werk von Manuel Thomas
Vernissage: Donnerstag, 28. Januar, 19.00 Uhr
Institut français Stuttgart, Schloßstr. 51, 70174 Stuttgart

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Manuel Thomas_Proust. Ein junger Mann am Strand.(c)Stanislaus Müller-Härlin

Manuel Thomas: Proust. Ein junger Mann am Strand.(c)Stanislaus Müller-Härlin

Seit nunmehr 40 Jahren befasst sich der in München lebende Künstler Manuel Thomas immer wieder mit der berühmten „Recherche“ des französischen Schriftstellers. In diesen Jahrzehnten ist eine eindrucksvolle Serie von 200 Blättern „hors texte“ entstanden. Die Textildrucke, Zeichnungen und Collagen, dazu eine Gruppe von Pastellen, illustrieren nicht konkret. Sie gehen vielmehr assoziativ auf Milieus, Atmosphäre und biografische wie narrative Fragmente des großen Themas ein. Zwischen Bewunderung und Ironie bewegen sich die Gestalten der „Recherche“ ebenso wie die Freunde Prousts, insbesondere aber auch umschwärmte Damen der Gesellschaft. Mit Leichtigkeit und Leidenschaft, Liebenswürdigkeit, Ernst und mondäner Delikatesse zieht Manuel Thomas die fadendünnen Linien seiner Zeichnungen um Marcel Prousts gefährdete Sensibilität. Und wie immer gilt: Je mehr man weiß, je mehr man sieht. Thomas‘ Blätter sind auch – immer eine Hommage an den Dichter – die verschwiegene Aufforderung zum genauen Lesen.

„Tout comme l’avenir, ce n’est pas tout à la fois, mais grain par grain que l’on goûte le passé“ – wahre Worte aus Marcel Prousts erstem Werk Les Plaisirs et les Jours, erschienen im Jahre 1896. Ob er damals ahnte, wie seine Zukunft aussehen würde? Dass sein Hauptwerk À la recherche du temps perdu (Auf der Suche nach der verlorenen Zeit) zu den wichtigsten erzählenden Werken des 20. Jahrhunderts gehören würde? Literaturhistorisch bedeutend ist der Roman vor allem deshalb, weil er mit einer bis dahin ungekannten Konsequenz die Subjektivität der menschlichen Wahrnehmung inszeniert: So zeigt er, dass kein Mensch die Wirklichkeit oder Wahrheit als solche erkennen kann, sondern allenfalls eine subjektive Wahrheitsvorstellung besitzt. Proust hat das Erzählen als eine Möglichkeit entdeckt, anderen Menschen zumindest Teile dieser einzigartigen, subjektiven Welt eines „Ich“ zugänglich zu machen.

Eine weniger subjektive Wahrheit ist allerdings die Tatsache, dass man Prousts Werk nicht nur literarisch betrachten kann. Das zeigt die Veranstaltungsreihe „Marcel Proust – Stoffe der Erinnerung“, die dazu einlädt, das Werk des Schriftstellers sowie seine Rezeption aus unterschiedlichen Blickwinkeln – Grafische Kunst, Literatur, Musik und Kino – bis in die Gegenwart zu entdecken und wiederzuentdecken.

Konzeption: Barbara Mors-Stammler und die Arbeitsgruppe der Freunde des Institut, Institut français Stuttgart
Kooperationspartner: Literaturhaus Stuttgart, Reclam Verlag
Gesamtkoordination: Institut français Stuttgart

Manuel Thomas (*1940 in Speyer) versteht sich seit seiner Jugend vor allem als „Papierarbeiter“, so fertig er Zeichnungen, Skizzen, Illustrationen, Druckgrafiken, Materialdrucke, Monotypien, Aquarelle, Collagen mit bearbeiteten oder aquarellierten Papieren ohne Anteile bildhafter, vorgefundener oder gedruckter Elemente. Der mit zahlreichen Preisen – darunter Förderpreise Rheinland-Pfalz, Stadt München, Villa Massimo Rom – ausgezeichnete Thomas bezieht zudem zeitlebens künstlerische Inspiration aus ausgedehnten Reisen um den ganzen Erdball. Manuel Thomas ist gleichermaßen bildender Künstler wie Autor. Seiner ersten Ausstellung 1961 in Mainz folgte im Jahr darauf sein erster, von surrealen Elementen und fantastischen Abschweifungen geprägter Roman Herr Mo mit eigenen Zeichnungen. Dem Wechselspiel aus Linie und Wort kommt in Thomas‘ Arbeit immer wieder eine eigenwillige Rolle zu. Die späteren Romane sind Monologe eines Mannes in schwierigen Lebenssituationen. In nicht wenigen seiner Gedichte wirft Manuel Thomas religiöse Fragen auf; andere lyrische Texte sind Ergebnisse seiner Reisen mit ihren sozialen und kulturellen Erfahrungen. In seinen Erzählungen pointiert er beide: Wirklichkeit und scheinbare Unwirklichkeit.

Die Ausstellung ist der Auftakt zur Veranstaltungsreihe „Marcel Proust – Stoffe der Erinnerung“, die sich im Februar und März aus unterschiedlichen Blickwinkeln mit Prousts Werk befasst.
Öffnungszeiten: Mo-Do 10.00-18.00 Uhr, Fr. 10.00-16.00 Uhr
Der Eintritt ist frei

> Die Veranstaltungsreihe „Marcel Proust – Stoffe der Erinnerung“ des Institut français in Stuttgart

Veranstalter: Institut français Stuttgart in Kooperation mit dem Verein der Freunde des Institut français Stuttgart

Leipziger Literarische Herbst 2015

Dienstag, 20. Oktober 2015

Der diesjährige > Leipziger Literarische Herbstvom 20.-27.10.2015 bietet rund 35 Veranstaltungen in der Stadt mit Autoren wie Boualem Sansal, Ilia Trojanow, Navid Kermani: der Friedenspreisträger 2015 des Deutschen Handels. Dieses Jahr stehen die Ersterwähnung Leipzigs vor 1000 Jahren und die französische Literatur im Mittelpuinkt

> Veranstaltungen des Leipziger Literarische Herbstes

Download > Programmheft 2015 (4,3 MB)

Am 21. Oktober, um 19 Uhr wird der Navid Kermani, zu Gast im Alten Rathaus sein, um 18:30 Uhr liest im „Grünen Salon“ im Alten Rathaus Günter Gentsch neue Erzählungen. Um 19 Uhr ist der Chamisso-Preisträger Sherko Fatah zu Gast in der Deutschen Nationalbibliothek . 19:30 Uhr: Vorstellung der Anthologie „Stimmen für Leipzig“, herausgegeben von Jutta Pillat mit Lesungen von Kerstin Preiwuß und Elmar Schenkel im Zeitgeschichtlichen Forum. 20 Uhr diskutiert Ulrich Johannes Schneider mit dem französischen Philosophen Alain Finkielkraut in der Bibliotheca Albertina.

Besondere Veranstaltungen zur französischen Literatur:

Freitag, 23.10.2015 20.00 Uhr – Leipziger Stadtbibliothek – Leipzig
Lesung und Gespräch mit dem französischen Schriftsteller und Philosophen Jacques Rancière. Moderation: René Aguigah, Leiter der Abteilung Kultur und Gesellschaft beim DeutschlandRadio Kultur
Übersetzung: Vincent von Wroblewski

Jacques Rancière wurde 1940 geboren, studierte bei Louis Althusser und zählt zusammen mit Deleuze und Derrida zu den bedeutendsten französischen Philosophen seiner Generation. Von 1969 bis 2000 lehrte er als Professor an der Universität Paris. Er vertrat anfangs die marxistische Theorie, kam aber nach den Stundenrevolten 1968 in Paris etwas davon ab. Er untersucht aber weiterhin die Rolle der Arbeiterklasse und die Rolle der öffentlichen Protestbewegungen und tritt für die Rechte der „Massen“ ein. Politik und Ästhetik sind bei Rancière eng miteinander verbunden und zwei Schwerpunkte seiner Reflexion.
In „Le destin des Images“ unterstreicht er die sinnliche Qualität von Bildern: Sie sind nicht nur Darstellung, sondern auch unmittelbar erfahrbar und keiner Ordnung unterworfen. Solche Überlegungen verhalfen ihm zu einer Popularität in der Theater- und Medienwissenschaft. Zum Leipziger Literarischen Herbst präsentiert er sein neuestes Werk „Der verlorene Faden. Essays zur modernen Fiktion“ (Passagen Verlag, 2015).

Veranstalter: Institut français

24.10.2015 20.00 Uhr – Institut français Leipzig – Leipzig

Lesung und Gespräch mit dem französischen Schriftsteller und Regisseur Jean-Philippe Toussaint. Moderation: Joachim Unseld, Verleger und Übersetzer
Übersetzung: Vincent von Wroblewski

Jean-Philippe Toussaint wurde 1957 in Brüssel geboren, seit 1971 lebt er in Paris. Er zählt mit seinen Romanen zu den Klassikern der zeitgenössischen Literatur. 1989 erschien sein Roman „L’appareil-photo“, zeitgleich mit der Verfilmung von „Monsieur“, bei der Toussaint erstmals selbst Regie führte. 1992 verfilmte er seinen Roman „L’appareil-photo“ unter dem Titel „La Sévillane“. Im folgenden Jahr wurde er vom DAAD für einen einjährigen Aufenthalt nach Berlin eingeladen, wo er den Film „Berlin 10H46′“ realisierte und die Arbeit an dem Roman „La télévision“ aufnahm. 1995 verfilmte Toussaint sein bis dahin unveröffentlichtes Drehbuch „La Patinoire“; die Dreharbeiten wurden live im Internet übertragen. 1997 erschien sein Roman „La télévision“. Im Jahre 2000 veröffentlichte Toussaint sein Buch „à l’ètranger“. Der 2002 erschienene Roman „Faire l’Amour“ wurde in Frankreich ein Bestseller. Bei „Faire l’Amour „und „Fuir“ handelt es sich um die ersten beiden Teile einer Trilogie, die in Asien spielt und das Ergebnis ausgedehnter Reisen und Aufenthalte des Autors in Japan und China sind.

Veranstalter: Institut français

Und:

> Eugène Delacroix et Paul Delaroche Geschichte als Sensation

Eugene Delacroix (1798–1863) und Paul Delaroche (1797–1856) zählen zu den bedeutendsten Historienmalern des 19. Jahrhunderts in Frankreich, die seit etwa 1820 mit ihren Historiengemälden im Pariser Salon Aufsehen erregten. Obgleich Delaroche heute nahezu in Vergessenheit geraten ist und Delacroix als der modernere der beiden gilt, wurde Delaroche von den Zeitgenossen für seinen erstaunlichen Realismus in der Wiedergabe historischer Ereignisse weitaus mehr gefeiert.

Museum der bildende Künste, Leipzig – 11. Oktober bis 17. Januar 2016

Rupert Neudeck parle de La Peste

Freitag, 2. Oktober 2015

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